Deux frères reviennent dans le grenier de leur enfance et retrouvent, tels quels, balais, passoires et vieilles fourrures... Tous les objets détournés à l'époque pour incarner héros, dieux et déesses. Trente ans plus tard, ils jouent une dernière fois à l' « ILIADE » avec l'énergie et l'inventivité des jeux de l'enfance. Une performance physique et poétique au service du texte d'Homère magnifiquement traduit par Jean-Louis Backus. 2 comédiens, 35 personnages, toute l'ILIADE en 1h13.
Convoqué par Pompée, Alix est chargé d'escorter Vercingétorix qu'il vient de libérer pour nuire à César. Evitant Galva chargé de les retrouver, ils parviennent au village de Vercingétorix. Celui-ci récupère sa femme Ollodia et son fils Edorix mais, responsable de la défaite, il est chassé du village. Poursuivis par les romains, prévenus par Sevorax, second époux d'Ollodia, ils sont protégés par la meute de loups amie d'Alix.
Carthage. Alix et Enak décident de découvrir l'origine de cette étrange lueur qui parcourt chaque nuit les rues de la cité. Embusqués, ils surprennent, sortant d'une des citernes en ruines, un homme mystérieux, porteur de la lueur. Infiltré dans le repaire, Alix ne doit son salut qu'à l'intervention de la princesse Samtho, petite fille de Salammbö, qui hélas périt en lui permettant de s'enfuir. Le tribun Corus Maler explique à Alix le fin mot de l'histoire.
Echoués sur une île à priori déserte, Alix et Enak découvrent une peuplade égyptienne persécutée par Sardon, maître des phéniciens de l'île voisine. Celui-ci, grâce à des rayons incendiaires et avec l'aide des javelots explosifs d'Arbacès, veut conquérir le monde. Vitella, infiltré, libère Lydas mais Enak est capturé lors d'une opération de sabotage. Sardon veut alors le sacrifier pour calmer la colère du Moloch, le dieu volcan qui gronde.
En route avec Enak pour le port de Byblos, Alix vient en aide à un lion blessé. Celui-ci, qu'ils ont prénommé Raban, reconnaissant, les suit de loin, leur offrant même ses proies à l'occasion. Capturés par Aelius Regulus, en mission pour le sénat accompagnés par les mercenaires grecs de Corcia, ils prennent le chemin de Petra.
Carthage. Des phéniciens enlèvent le mage Lydas et prennent la fuite à bord d'une galère semant le feu et la destruction. Envoyé extraordinaire de Rome, Alix, bientôt rejoint par Enak, implique rapidement Gallo et Ségabal, deux notables carthaginois qui avec l'aide d'Arbacès parviennent à disparaître. Débusqués de leur tanière, ils prennent le large avec l'étrange galère mais Alix réussit pourtant à capturer Ségabal. Celui-ci avoue tout..
A la suite de la découverte de vestiges de navires antiques à Marseille en 1993 et après plusieurs années d’étude menées par le Centre Camille Jullian, une équipe d’archéologues spécialistes de navigation antique entreprend de construire une réplique navigante de l'un de ces bateaux, datant du VIeme siècle av. J.-C. Baptisé "GYPTIS", ce bateau navigue aujourd’hui sur la côte méditerranéenne moins d’un an après le début de sa construction.
En route pour la Grèce, Alix et Enak font naufrage. Si Alix est sauf, ses compagnons ont été emmenés comme esclaves. Voulant libérer son ami, Alix est capturé à son tour par le valeureux capitaine des grecs Horodes. Malgré l'humiliation qu'il inflige au général Alcidas, Alix s'assure la protection de la reine Adréa. En fière spartiate, celle-ci rêve de chasser les romains hors de Grèce mais ces derniers s'apprêtent justement à attaquer sa citadelle.
Sur le chemin du retour, la légion gauloise d'Alix et Iorus est pourchassée par des barbares alliés aux romains. Abandonnant leur or aux romains, Iorus décide de se venger sur les barbares. Malgré l'opposition d'Alix, les gaulois massacrent la tribu de Rug-Harr. Enak est blessé, Valerus humilié et Ariela ne reconnaît plus l'homme qu'elle admirait autrefois.
