Le site de la Verrerie à Arles offre une nouvelle fois ses richesses du passé. La découverte d’une paroi peinte nous entraine dans l’aventure de la révélation d’une domus du Ier siècle avant notre ère. Lors de cette fouille du site de la Verrerie, nous descendons au fur et à mesure dans ces remblais. Marie Pierre Rothé, Alain Genot et Julien Boislève nous apportent des explications sur les découvertes.
Lors d'un rude hiver de l'an 324, un éblouissant cavalier de la garde impériale romaine arrête son cheval devant un vieillard presque nu puis, retire de ses épaules son immense cape blanche, formée de deux pièces d'étoffe, dont une doublée de peau de mouton et sépare de son épée les deux parties pour réchauffer le malheureux.C'est dans ce geste de charité qu'est contenu toute la force d'un personnage emblématique des débuts du christianisme en occident .
En utilisant les techniques de l’archéologie expérimentale, en collaboration avec les conservateurs du musée de l’Arles antique, Brice Lopez combat les fantasmes hollywoodiens version Gladiator et retrouve les bases d’une culture qui irriguait toute la Méditerranée. Avec ses équipes, il offre, aux chercheurs comme au grand public, une nouvelle vision de ce qui fut le premier grand sport spectacle de l’histoire de l’humanité.
Tyr. Invités par leur ami le riche marchand Halzar, Alix et Enak vont prendre part à l'aventure de l'Argos, navire gigantesque devant faire voile vers des terres inconnues. Attaqués par deux bateaux pirates, équipage et passagers doivent se mettre aux rames pour pouvoir leur échapper. Coincés sur une petite barque, Alix et Enak vont s'échouer sur une île volcanique.
Sakhara, Egypte. Alix accompagne Enak que les prêtres d'Isis ont désigné comme dernier descendant de la lignée des Menkhara. Il s'agit en fait d'une machination montée par Pharaon et son général Djefer pour obliger Alix à assassiner César. La princesse Sais n'hésite pas à commettre un sacrilège pour libérer Alix, mais celui-ci est bien vite repris.
Apollonia. Attirés par une fausse lettre, Alix, Enak et Héraklion se retrouvent coincés dans la ville en construction. Une étrange statue est découverte dans le sable. Dotée de pouvoirs magiques, elle est vénérée par la population qui la place dans le temple d'Apollon. Héraklion est enlevé et Alix s'attire l'inimitié de Varius Munda, légat de la légion romaine.
Athènes. Vendus comme esclaves, Alix et Enak sont achetés par Numa Sadulus. Chargé d'une mission secrète pour Pompée, ce dernier leur propose un marché contre leur liberté. Ils devront s'infiltrer comme apprentis dans la fabrique de vases du Protonéion et découvrir la machination qui s'y trame. Trop jeune, l'héritier des lieux, Herkios, est sous la tutelle de l'ancien intendant Hykarion.
Une jonque fait route vers la chine. A son bord, Alix et Enak, ayant accepté d'accompagner le jeune Mardokios retrouver son père Aristène, précepteur du prince Lou Kien. Alors que le bateau est attaqué par des pirates, Alix sauve la vie du prince Wou Tchi qui lui en est reconnaissant. Arrivés au palais impérial, Alix et Enak sont présentés à l'empereur Han Tsi qui décide de leur confier l'éducation de son fils.
Vaincu par les parthes, les romains doivent accepter de signer un traité. La légion gallo-romaine, commandée par les tribuns Iorus et Hortalus, se voit contrainte de rentrer en échange d'un sac d'or par personne. Alix est alors chargé par le proconsul Drufus de la diriger sur le chemin de la Gaule. Il s'attire l'amitié de la belle Ariela, ce qui lui vaut l'antipathie d'Iorus, et protège Valerus, un voleur qu'il prend pour écuyer.
Une immersion au milieu des gladiateurs. Un dépaysement garanti, validé par des experts, avec une foule d'informations à glaner et des clichés pulvérisés.
S’il est un site archéologique mythique en Italie, c’est bien celui de Cumes en Campanie. Situé à 25 km à l’ouest de Naples, sur la côte de la mer Tyrrhénienne en face de l’île d’Ischia, Cumes est considérée par les historiens antiques comme la plus ancienne colonie grecque en Occident. Les fouilles entreprises par le Centre Jean Bérard, sous la tutelle du CNRS et de l'Ecole française de Rome, ont mis au jour de splendides tombes monumentales.
